La version anglaise de cet article a également été publiée dans le National Insolvency Review, Vol. 31, No. 2 (avril 2014) aux pp. 13-17. L’extrait pertinent du NIR peut être lu en cliquant ici (publié avec l’autorisation de l’éditeur, LexisNexis Canada Inc.)
Dans une décision récente, la Cour d’appel du Québec s’est penchée sur l’étendue des pouvoirs du juge supervisant la restructuration d’une entreprise sous l’égide de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies2 (ci-après, la « LACC »). Plus particulièrement, la Cour devait décider jusqu’où s’étend la compétence du juge pour veiller au respect et à la réalisation des conditions préalables d’une vente d’éléments d’actif qu’il a approuvée.