Marc-Alexandre Hudon

avocat, associé

Barreau du Québec 2007


T +1 514 282 7839

Avocat polyvalent, Marc-Alexandre Hudon est membre à la fois de notre secteur litige et de celui de droit des affaires. Sa pratique couvre principalement la protection des renseignements personnels, la cybersécurité, les contrats publics, l’intégrité des entreprises, le droit administratif et le droit des Autochtones. Il agit pour un vaste éventail de clients issus notamment des secteurs des ressources naturelles et de l’énergie, de l’infrastructure, de la santé et des technologies. Avocat plaidant aguerri tant devant les cours et tribunaux du Québec que devant la Cour fédérale, il conseille ses clients dans le cadre d’enquêtes, de transactions ainsi qu’à l’égard de diverses questions en lien avec ces domaines.

Protection des renseignements personnels et cybersécurité

Marc-Alexandre connaît parfaitement les enjeux juridiques en matière de protection des renseignements personnels et de cybersécurité, aussi bien au niveau provincial que fédéral. Son expertise en la matière englobe les conseils, les enquêtes ainsi que la représentation de ses clients devant la Commission d’accès à l’information du Québec et la Cour fédérale. Au cours de sa carrière, il a agi dans plus d’une centaine de dossiers de toute envergure et pour un large éventail de clients, y compris dans le cadre d’incidents de confidentialité, de perte ou de vol de renseignements personnels, de violation de données, de rançongiciels, de demandes d’accès et de conformité réglementaire.

Il a également développé une expertise en matière d’intelligence artificielle. À ce titre, il conseille des clients sur tous les aspects de la protection des renseignements personnels associés à l’intelligence artificielle (IA), notamment l’évaluation des risques, le choix et le développement de solutions en matière d’IA, la conservation des données issues de l’IA (incluant le traitement des données par l’IA) et les aspects connexes liés à l’accès à l’information, la conception et la mise en œuvre de plans de conformité en matière d’IA ou encore le suivi de la performance des solutions d’IA. Il est également familier avec des enjeux émergents liés à l’IA et qui recoupent certains de ses autres champs d’expertise, notamment en matière de concurrence et d’intégrité d’entreprise.

Enquêtes internes, contrats publics et intégrité d’entreprise

Marc-Alexandre possède un solide savoir-faire en ce qui concerne les enquêtes internes, les contrats publics et, plus généralement, l’intégrité d’entreprise, de même que la législation anticorruption, tant à l’échelle nationale qu’internationale. Il agit fréquemment pour le compte de sociétés et de leur conseil d’administration afin d’élaborer des stratégies et des politiques pour préserver l’intégrité de leurs processus administratifs, notamment en lien avec la Loi sur la corruption des agents publics étrangers.

Droit des Autochtones

De nombreux clients canadiens et internationaux retiennent ses services quant à tous les aspects du droit des Autochtones au Canada, que ce soit dans le cadre de transactions commerciales, de litiges ou de dossiers portant sur des questions relatives aux processus de consultation et d’accommodement des Autochtones, aux traités et à la Loi sur les Indiens. Il est également reconnu pour sa solide expérience en ce qui concerne la création et la mise en œuvre de coentreprises et autres partenariats pouvant se qualifier comme entreprises autochtones auprès de Premières Nations situées en Ontario, au Québec, au Nunavut, en Saskatchewan, au Manitoba et à Terre-Neuve-et-Labrador.

Droit administratif et droit professionnel

Dans le cadre de sa pratique en litige commercial, Marc-Alexandre agit régulièrement pour des clients relativement à des contrôles judiciaires, des recours en droit administratif ainsi lors de procédures judiciaires complexes en lien avec ses autres domaines de pratique. Il plaide devant les principales instances judiciaires du Québec, notamment la Cour supérieure, la Cour du Québec, le Tribunal administratif du Québec, les conseils et la Commission d’accès à l’information.