William D. Hart, associé en droit corporatif et commercial chez Langlois et responsable du groupe de pratique France-Québec du cabinet, a récemment été cité dans un article intitulé « Absence de repreneur : les Français à la rescousse », dans le journal Les Affaires.
« L'absence de relève pour reprendre des PME québécoises représente une réelle occasion d'affaires pour des entrepreneurs venus d'ailleurs, notamment de France […] Selon lui, plusieurs entrepreneurs québécois préfèrent vendre à un repreneur français qu'à un Américain en raison de la langue, bien sûr, mais surtout parce que les Français conservent généralement les emplois au Québec. »